OVNI sous-marin
Un officier de la US Navy affirme que les OVNIs sous-marins
représentent une menace réelle et difficile à ignorer
On a tous grandi avec des histoires de soucoupes volantes, mais on les a souvent rangées dans la case des contes pour enfants. Pourtant, aujourd’hui, ce sont des gens très sérieux qui en parlent. Des pilotes de chasse de l’armée américaine, des hommes entraînés à reconnaître n’importe quel appareil dans le ciel, nous disent qu’ils ont vu des choses… des choses qui ne ressemblent à rien de ce que nous connaissons. Et le plus troublant, c’est que ces mystères ne se passent pas seulement très haut dans le ciel, mais aussi dans les profondeurs de nos océans.
Tout a commencé de façon assez banale pour le lieutenant Ryan Graves, un pilote de l’US Navy. En 2014, au large de la Virginie, son radar a commencé à afficher des points étranges. Des ‘bugs’, s’est-il dit au début. Mais ces points revenaient sans cesse. Ils se déplaçaient d’une manière impossible : parfois immobiles, comme suspendus en l’air, et l’instant d’après, ils filaient à des vitesses supersoniques. On les a enregistrés de la surface de l’océan jusqu’à 12 000 mètres d’altitude. Ce n’était clairement pas un problème technique.
Après n’avoir été que des échos sur un écran, un jour, l’objet s’est montré. Et ce que le lieutenant Graves et ses collègues ont vu a tout changé. Il décrit un cube gris foncé ou noir, flottant à l’intérieur d’une sphère transparente. L’engin, qui faisait entre 5 et 15 mètres de diamètre, s’est approché à moins de 50 pieds (environ 15 mètres) de leurs avions de chasse. À partir de ce moment-là, ce n’était plus une curiosité. Graves l’a dit lui-même : ‘Nous avons commencé à traiter cela comme un problème de sécurité’. C’est devenu réel, et potentiellement dangereux.
L’escadron de Graves n’était pas le seul à voir ces choses. Presque tous les jours pendant un an, ils ont enregistré ces objets. Parfois seuls, parfois en groupe. Le plus fou ? Ils n’avaient ni ailes, ni moteur visible, ni fumée d’échappement. Rien. Et ce n’était pas juste sur la côte Est des États-Unis. Des pilotes de la côte Ouest, près de porte-avions comme le USS Nimitz, rapportaient les mêmes phénomènes depuis des années. Ryan Graves a vite compris : ‘Ce n’était pas un seul objet isolé. […] C’était un schéma. C’était mondial.’
L’une des rencontres les plus célèbres est celle du ‘Tic Tac’. En novembre 2004, au large de San Diego, le porte-avions USS Nimitz a été le témoin d’un spectacle incroyable. Les radars ont détecté des objets qui descendaient de 24 000 mètres d’altitude jusqu’au niveau de la mer… en moins d’une seconde. Le commandant David Fravor, envoyé pour voir de plus près, a décrit un objet blanc, lisse, de forme oblongue, comme un bonbon Tic Tac, d’environ 12 mètres de long. Il flottait juste au-dessus de l’eau. Quand Fravor a tenté de s’approcher, l’objet a disparu à une vitesse fulgurante. ‘Comme une balle de fusil’, a-t-il raconté.
En avril 2013, une caméra infrarouge des douanes américaines à Porto Rico a filmé quelque chose qui laisse les experts sans voix. On y voit un petit objet sphérique arriver de l’océan, survoler l’aéroport, puis retourner vers la mer. Là, il plonge dans l’eau sans ralentir, sans faire le moindre ‘splash’, sans laisser aucune trace à la surface. Quelques secondes plus tard, il ressort, se divise en deux objets distincts, puis replonge. N’importe quel objet, selon les lois de la physique que nous connaissons, devrait créer une énorme gerbe d’eau. Celui-ci agissait comme si l’eau et l’air étaient la même chose pour lui.
Il y a aussi des histoires plus anciennes et tout aussi étranges. Dans les années 1990, un pilote d’hélicoptère de la Navy était en mission au large de Porto Rico pour récupérer un drone-cible de 6 mètres de long dans l’océan. Un plongeur avait attaché le drone au câble de l’hélicoptère. Mais au moment de le soulever, quelque chose a violemment tiré le drone vers le bas. Le pilote a rapporté avoir vu une ‘grande masse sombre’ sous l’eau, bien plus grande que n’importe quel sous-marin ou animal marin connu. La chose a fini par lâcher prise, mais l’équipage en est resté secoué.
Face à tous ces témoignages, les choses commencent à bouger. Ryan Graves et un autre haut gradé à la retraite, le contre-amiral Tim Gallaudet, passent maintenant leur temps à alerter les responsables à Washington. Et ça marche, doucement. En 2023, une loi a été votée, la ‘UAP Disclosure Act’, qui oblige les agences gouvernementales à rassembler et à rendre publics les dossiers sur ces phénomènes. Pour la première fois, la loi américaine reconnaît ouvertement la possibilité d’une intelligence non humaine. On ne dit pas que ce sont des extraterrestres, mais on dit que ce n’est pas nous, et que ce n’est pas une technologie qu’on connaît.
Alors, que sont ces choses ?
Des extraterrestres venus d’une autre galaxie ? Le contre-amiral Gallaudet avance une autre idée, un peu folle mais qui fait réfléchir : et si ces intelligences n’étaient pas venues d’en haut, mais d’en bas ? ‘Peut-être qu’ils vivent ici depuis très longtemps, avant même nous, et qu’ils se sont réfugiés sous le plancher océanique pour se protéger’, suggère-t-il. On n’a aucune preuve, bien sûr. Mais une chose est sûre : des témoins crédibles ont vu des choses qui défient notre compréhension. Le mystère est immense, et il se pourrait bien que les réponses ne se trouvent pas en levant les yeux au ciel, mais en les baissant vers les profondeurs sombres et inexplorées de nos océans.
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