Sommes-nous les seuls «humains» dans l'univers des OVNIS ?

Août 8, 2025 - 19:16
Août 8, 2025 - 17:36
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Sommes-nous les seuls «humains» dans l'univers des OVNIS ?

Le mot “OVNI” signifie simplement Objet Volant Non Identifié — donc oui, des gens rapportent régulièrement des observations de phénomènes étranges dans le ciel, surtout depuis le milieu du 20e siècle.

Certains cas sont expliqués plus tard comme des avions, des ballons-sondes, des phénomènes atmosphériques… mais il en reste toujours quelques-uns qui restent mystérieux.

Les gouvernements prennent cela de plus en plus au sérieux. 

Par exemple :

  • Le Pentagone a publié plusieurs vidéos d’objets inexplicables filmés par des pilotes militaires.

  • En 2023, des auditions publiques au Congrès américain ont évoqué la possibilité de technologies “non humaines”.

Cela ne veut pas dire que des extraterrestres sont déjà là — simplement qu’il y a des choses qu’on ne comprend pas encore. La science avance doucement : on cherche des biosignatures sur des exoplanètes, on analyse les signaux radio de l’espace… mais pour l’instant, toujours pas de contact confirmé.

Et si un jour une vie extraterrestre se révélait… serait-elle amicale et curieuse, ou mystérieuse et distante comme dans les films de science-fiction ? 

Il faut penser à l’immensité vertigineuse de l’univers :

La Voie lactée (comprenant la TERRE) est une des milliards de galaxies observables.

Grâce aux observations du télescope spatial Hubble,
il y aurait au moins 2 000 milliards de galaxies dans l’univers observable.

Chacune des galaxies contient des centaines de milliards d’étoiles.

En bref, on est tout petit!

Autour de nombreuses étoiles tournent des exoplanètes, dont certaines sont dans la “zone habitable”.

Les scientifiques écoutent les “bruits” cosmiques via des programmes comme SETI, et envoient aussi des messages dans l’espace.

Mais jusqu’à présent, le silence est... cosmique.

Cela dit, l’univers est tellement vaste que beaucoup estiment qu’il serait statistiquement improbable que nous soyons les seuls. 

Ce que ça veut dire, c’est que l’absence de preuve n’est pas nécessairement une preuve d’absence.

Et même si d’autres formes de vie existent, elles ne seraient pas forcément “humaines” ou humanoïdes… Elles pourraient être très différentes de nous, voire incompréhensibles pour notre biologie ou nos modes de pensée.

La distance entre une exoplanète et la Terre dépend bien sûr de l’étoile autour de laquelle elle orbite. Comme ces étoiles sont situées en dehors de notre Système solaire, on mesure généralement cette distance en années-lumière.

Quelques exemples d’exoplanètes et leur distance :

Exoplanète Étoile hôte Distance approximative
Proxima Centauri b Proxima Centauri ~4,2 années-lumière
TRAPPIST-1 e, f, g TRAPPIST-1 ~40 années-lumière
Kepler-22b Kepler-22 ~600 années-lumière
HD 209458 b HD 209458 ~150 années-lumière
K2-18b K2-18 ~124 années-lumière

Pour vous donner une idée : 1 année-lumière = environ 9 460 milliards de kilomètres.

Donc même les plus proches exoplanètes sont à des distances vertigineuses !

Ces mesures sont obtenues grâce à des télescopes comme Kepler, TESS, ou James Webb, qui identifient les exoplanètes par des méthodes comme le transit ou les vitesses radiales.

Alors... peut-être que quelque part, sous une étoile lointaine, une autre civilisation se pose la même question.

Ce que nous savons...

  • La Terre abrite une biodiversité incroyable : des bactéries aux baleines, en passant par les champignons, les insectes et les humains.

  • Aucune preuve scientifique solide n’indique que des extraterrestres vivent parmi nous ou ont visité la Terre… pour l’instant.

Pourquoi les illustrations d'OVNI se ressemblent presque tous ? Cliquez ICI.

Les phénomènes inexpliqués existent bel et bien, mais rien ne prouve à ce jour que des extraterrestres soient sur Terre

Cela dit, l’univers est vaste… et les mystères ne manquent pas. Malheureusement aucune preuve scientifique solide n’indique que des extraterrestres vivent parmi nous ou ont visité la Terre… pour l’instant. Mais on dit qu'en 2030, on pourra communiquer avec eux... On verra bien!

Ce que la science explore

  • La NASA et d'autres agences spatiales mènent des missions comme SPHEREx et PUNCH pour détecter des molécules organiques et des biosignatures dans l’univers.

  • Le Paradoxe de Fermi questionne pourquoi, malgré l’immensité de l’univers, nous n’avons pas encore détecté de civilisations extraterrestres.

  • Des études récentes suggèrent que la vie pourrait exister ailleurs, mais que les conditions nécessaires sont rares et complexes.

Et si nous n’étions pas seuls ?

  • Il est possible que d'autres civilisations aient existé, mais se soient éteintes avant que nous puissions les détecter.

  • Ou alors, elles sont trop éloignées pour que nous puissions communiquer avec elles, même avec nos technologies avancées.

En résumé : sur Terre, nous sommes les seuls êtres intelligents connus. Mais dans l’univers ? Le mystère reste entier. 

- En 2023, la marine américaine a filmé un objet volant en forme de "Tic-Tac" au large de la CalifornieIl semblait émerger de l’eau et se déplacer à une vitesse impressionnante.

- Le Pentagone a publié une carte des zones où les signalements d’OVNI sont les plus fréquents : sud-est des États-Unis, côte ouest, Moyen-Orient et Asie du Nord-Est.
 
  Ce que disent les experts...

- Le professeur Garry Nolan de Stanford affirme que des intelligences extraterrestres seraient déjà parmi nous, utilisant des "intermédiaires" pour interagir avec notre monde.

- Pourtant, le dernier rapport du Pentagone conclut qu’aucune preuve d’origine extraterrestre n’a été trouvée dans les centaines de cas étudiés.
  La majorité des observations sont attribuées à des ballons, drones, oiseaux ou satellites.
 
Canada

- Il y aurait plus de 1000 observations d’OVNI par an. Certaines ont même été portées à l’attention du ministre de la Défense.

La ressemblance entre les illustrations d’OVNI  s’explique par un mélange de culture populaire, de psychologie humaine, et de témoignages récurrents.

Voici pourquoi ces représentations convergent :

  • Effet de paréidolie : notre cerveau tend à reconnaître des formes familières dans l’inconnu. Une lumière étrange dans le ciel devient un disque, car c’est une forme simple et reconnaissable.

  • Influence des médias : depuis les années 1950, les films, séries et livres de science-fiction ont popularisé l’image de la soucoupe volante. Ces visuels ont façonné l’imaginaire collectif.

  • Témoignages similaires : de nombreux témoins décrivent des objets ronds, brillants, parfois avec des lumières ou des antennes. Ces descriptions influencent les artistes et les illustrateurs.

  • Symbolisme universel : les formes circulaires évoquent la perfection, le mystère, voire le divin. Dans l’art religieux ancien, certains objets célestes ressemblent déjà à des OVNI modernes.

  • Manque de données concrètes : en l’absence de preuves tangibles, les artistes s’appuient sur des modèles existants ou extrapolent à partir de récits.

  • Les illustrations d'OVNI se ressemblent presque tous soit une tête, 2 bras, 2 jambes.

Un exemple marquant : dans les années 1500, des peintures comme La Glorification de l’Eucharistie de Salimbeni montrent des sphères avec des antennes, interprétées par certains comme des OVNI avant l’heure. Et aujourd’hui, les observations militaires modernes parlent davantage de sphères ou de objets translucides que de soucoupes.

En résumé : les phénomènes inexpliqués existent bel et bien, mais rien ne prouve à ce jour que des extraterrestres soient sur Terre.

Cela dit, l’univers est vaste… et les mystères ne manquent pas. 

Plusieurs pays dans le monde ont publié des rapports ou mis en place des organismes pour enquêter sur les OVNI — ou phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN).

Voici un tour d’horizon :

États-Unis

  • Le Pentagone a créé l’AARO (All-domain Anomaly Resolution Office) pour enquêter sur les PAN.
  • En 2024, l’AARO a reçu 757 signalements, dont la majorité ont été attribués à des ballons, drones ou oiseaux.
  • Une carte mondiale a été publiée pour identifier les “zones chaudes” d’observations, notamment aux États-Unis, au Moyen-Orient et en Asie du Nord-Est.

France

  • Le GEIPAN, rattaché au CNES, existe depuis 1977.
  • Il a étudié plus de 3100 cas, dont 99 restent non identifiés après enquête.

Royaume-Uni

  • Le pays a enregistré plus de 1 000 signalements d’OVNI entre 2022 et 2024.
  • Les observations sont souvent rapportées par des militaires, scientifiques et pilotes.

Australie

  • Environ 350 cas ont été recensés récemment.
  • La ville de Wycliffe Well est surnommée la “capitale des OVNI” du pays.

Brésil

  • Des observations ont été signalées dans des zones comme la réserve de Serra do Espinhaço, parfois accompagnées de rumeurs militaires.

Roumanie

  • La forêt de Hoia Baciu est réputée pour ses phénomènes étranges et observations d’OVNI depuis les années 1960.

Une infographie récente montre que les États-Unis dominent largement en nombre de signalements
(plus de 11 000), suivis par le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie.

Source:

Il y a aussi le cas de Roswell, Zone 51 et les OVNIs

L'incident de Roswell, un crash d'objet volant non identifié en 1947, est souvent cité comme la base de la croyance en des visites extraterrestres. 

La Zone 51, une base militaire américaine top secrète, est associée à des légendes sur la récupération et l'étude de ces engins, ainsi que sur la technologie extraterrestre. 

Cliquez ICI.

J. Rod, un extraterrestre a survécu à un crash d’OVNI en 1953.

Vidéo à voir: ICI et ICI - témoignages 

J. Rod a été un survivant d’un crash d’OVNI à Kingman, en Arizona, en 1953. L’objet s’est écrasé le 21 mai 1953, à huit miles au nord-est de l’aéroport de Kingman, dans le désert de l’Arizona. Quatre «ALIENS» étaient là à l'accident. Un seul a survécu: on lui donna le nom de J. RodIl a partagé des connaissances sur sa planète natale et l’univers avec les scientifiques et les ingénieurs de la Zone 51.

Certains anciens membres du personnel ont même affirmé avoir travaillé à ses côtés et avoir communiqué directement avec lui. Dans une interview de 2000, il a affirmé avoir eu une communication directe avec J. Rod et a déclaré que l’extraterrestre « ressemblait à vous » et « essayait de répondre aux questions ». L’extraterrestre parlait parfaitement anglais ; pas un androïde animatronique ou un CGI, l’extraterrestre était réel. 

J-Rod est le nom donné à un extraterrestre ayant survécu au crash d’un OVNI près de Kingman, Arizona, le 21 mai 1953. Selon plusieurs témoignages et récits ufologiques, ce crash aurait impliqué un vaisseau spatial contenant trois êtres extraterrestres appelés J-Rods.

Détails du crash

  • Le vaisseau aurait été récupéré par l’armée américaine et transporté vers des installations secrètes comme Area 51 ou Los Alamos.

  • Parmi les trois J-Rods, deux auraient survécu : un désigné P-45 J-Rod, et l’autre P-52 J-Rod, surnommé Chi’el’ah.

  • Le troisième occupant serait mort sur le coup.

J-Rod et les projets secrets

  • Le P-45 J-Rod aurait collaboré avec des scientifiques sur des simulateurs de vol à Los Alamos.

  • Le P-52 J-Rod (Chi’el’ah) aurait été transféré à la base S-4, près de la Zone 51, où il aurait travaillé avec le microbiologiste Dan Burisch.

  • Burisch affirme avoir communiqué avec J-Rod par télépathie et participé à des recherches biomédicales dans une “sphère propre” pour éviter toute contamination.

Origine temporelle ?

Certains récits avancent que les J-Rods seraient des humains du futur ayant évolué différemment, et que leur présence en 1953 serait liée à des missions de voyage dans le temps.

Une histoire controversée

  • Le crash de Kingman est considéré par certains chercheurs comme l’un des plus documentés après celui de Roswell.

  • Malgré les témoignages et les documents supposés, aucune preuve officielle n’a été rendue publique.

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